no ad

publications

IMG-20230922-WA0019FPM.jpg
02 10, 2023 encadrement

Le FPM SA signe un partenariat avec CAMEC INKISI pour la promotion de l'inclusion financière en RDC

Vendredi 22 septembre 2023 - 13:45 La signature de cette convention matérialise le partenariat entre le FPM SA, représenté par son Directeur général adjoint, Mr. Patrick NKONGO MAMBU, et CAMEC INKISI, par son Président du Conseil d’Administration, Monsieur Roland MAZIMI PIATU. Cette cérémonie s’est tenue le Mardi 19 septembre 2023, au siège de la COOPEC CAMEC INKISI à KINSATU, en présence des cadres de ces deux institutions.  Désireux de développer des programmes innovants afin de promouvoir la classe moyenne et contribuer à l’émergence d’une offre durable des services financiers de qualité en faveur des micros, petites et moyennes entreprises (MPME) ainsi que des personnes à faibles revenus en RDC, le FPM SA a signé un contrat de financement avec la COOPEC CAMEC INKISI afin de poursuivre cette démarche conjointe visant la fourniture d’une meilleure offre de services financiers en faveur du secteur précité qui, à ce jour, reste l’un des vecteurs stratégiques pour le développement du pays. Ainsi, dans une logique de mutualiser les efforts en vue d’accroître la pertinence de leurs actions, CAMEC INKISI bénéficie de la part du FPM SA, d’un financement en prêt senior pour accorder des financements à moyen terme aux micros, petites et moyennes entreprises (MPME). En rappel, Le Fonds multi bailleurs, le FPM SA est une initiative de la KfW (Banque de Développement allemande), de BIO (Société belge d’investissement pour les pays en développement), de Cordaid et Incofin CVSO dont la mission est de soutenir la construction et le développement d’un système financier inclusif, solide et responsable en RDC en favorisant l’accès au refinancement des institutions financières qui ciblent les MPME et les personnes à faible revenu.  A ce jour, le FPM SA appuie des institutions financières réparties dans les secteurs de la microfinance et bancaire en République Démocratique du Congo. CAMEC INKISI est une coopérative d'épargne et de crédit implantée depuis 2005 dans le Kongo Central. Cette coopérative est l’émanation de la volonté CIRAD, une ONGD française qui voulait accorder des matériels (moulin à canne à sucre manuelle et électrique, moulin à manioc électrique, une unité de provenderie, etc.) à crédit aux structures bien ciblées et le réseau CAMEC. Comme première cible, la CAMEC INKISI a démarré ses activités en offrant ses services d’abord à toutes les catégories de la population du territoire de Madimba et en suite à Kasangulu. Elle est aujourd’hui une COOPEC de référence dans le Kongo Central. Actualite.cd


libre echo

Bureau d'études FEDEKIN/COPEMECO
15/12, 2022

Après avoir lu l'actualité dans le site copemeco.cd, il revient à nous(COPEMECO) que chaque membre évalue en terme de chiffre d'affaires par rapport à la clientèle et en perte subie au regard de l'altération des produits liés à l'incident de cet accident observé au regard de la pluie diluvienne dans la nuit du 12 au 13 Décembre 2022. Pour une bonne analyse, vous n'avez que 48H afin que le Bureau d'études FEDEKIN/COPEMECO puisse produire un mémo.


Classement des pays africains les mieux préparés à l'e-commerce - (Infographie)
05/04, 2021

(Agence Ecofin) - Selon une récente étude de Statista*, le secteur africain de l’e-commerce est en passe d’atteindre une valeur de 24,7 millions USD cette année, pour 40,7 millions en 2025. Un boom impulsé entre autres par la Covid-19 et les blocages qu’elle a imposés au commerce conventionnel.


Nouvelles

no image

RDC : Les résultats de la 7ème étude d’audience des médias révèlent une montée en puissance de l'Internet

02/10/2023

Lundi 2 octobre 2023 - 11:03 Target SARL a présenté aujourd'hui les résultats de sa septième enquête sur l'audience des médias en République Démocratique du Congo (RDC). L'objectif de cette étude est de fournir aux médias un aperçu de leur position sur le marché, afin de les aider à élaborer des stratégies visant à améliorer leur audience et à attirer des annonceurs. L'enquête, menée du 18 mars au 24 avril 2023, révèle que malgré un recul notable, la radio reste le média le plus consommé en RDC, avec une audience de 52%. En deuxième position, l'internet connaît une progression significative, atteignant 39%, suivi de près par la télévision non payante et la télévision câblée, qui enregistrent chacune une audience de 23%. En revanche, la presse imprimée occupe la dernière position, avec seulement 2% d'audience. Serge Mumbu, Directeur Général de Target SARL, a souligné l'évolution significative de l'audience des médias en RDC, marquée par une montée en puissance de l'internet. Il a encouragé les médias à prendre en compte cette tendance en développant leur présence en ligne, en proposant des contenus de qualité, et en maintenant une régularité dans leur programmation. "Les médias doivent tenir compte de l'évolution. Aujourd'hui, on ne peut pas ignorer Internet. Ceux qui le peuvent doivent avoir un site, doivent avoir une application, avoir un contenu qui est capable de pouvoir mettre en ligne. C'est cet ensemble de facteurs qu'il faudra prendre en compte pour attirer l'attention des annonceurs. Si les médias ne le font pas, les annonceurs préféreront communiquer dans les médias étrangers", a déclaré M. Mumbu. L'étude met également en lumière les préférences en matière de contenu. À la radio, les journaux télévisés, les émissions religieuses et l'actualité politique attirent le plus grand nombre d'auditeurs. En revanche, à la télévision, les sports rencontrent un grand succès, en particulier sur les chaînes câblées. Pour ce qui est de l'internet, la facilité de téléchargement des contenus vidéo ou audio semble être un élément déterminant dans le choix des consommateurs. Pierre Nsana, professeur en journalisme, a appelé les médias traditionnels à innover pour rester compétitifs. Il a préconisé trois solutions essentielles pour améliorer l'audience : le confort de l'écoute, la pertinence de l'actualité et l'intérêt du public. L'enquête de Target SARL, en sa septième édition, s'appuie sur des données recueillies lors d'un sondage en face à face auprès d'un échantillon de deux mille personnes âgées de 18 ans, représentant les 26 provinces de la RDC. Grâce Guka

voir plus
no image

RDC : suite à la mauvaise gestion et autres pratiques peu orthodoxes, l'IGF bloque les comptes du Fonds de garantie de l'entrepreneuriat au Congo (FOGEC)

02/10/2023

Samedi 30 septembre 2023 - 14:54 Les comptes bancaires du Fonds de Garantie de l’Entrepreneuriat au Congo (FOGEC) viennent d'être bloqués sur instruction de l'Inspection Générale des Finances (IGF). D'après la cellule de communication de ce service rattaché à la Présidence de la République, cette décision fait suite à la mauvaise gestion et mauvaise pratique du comité de gestion de cet établissement public. "Indexé pour mauvaise gestion et pratiques peu orthodoxes, les Comptes Bancaires du Fonds  de Garantie de l’Entreprenariat au CONGO (FOGEC) sont bloqués par l’Inspection Générale des Finances (IGF) qui exige des mandataires de cet établissement public le remboursement des sommes indûment perçus par eux", a annoncé le service de communication de l'IGF ce samedi 30 septembre 2023 Dans ses différentes communications en Conseil des ministres, le Chef de l'État Félix Tshisekedi a toujours attiré l'attention des mandataires des entreprises et établissements publics sur la nécessité d'interioriser les pratiques des bonnes gouvernances. Lors de la 88e réunion du Conseil des ministres, Félix Tshisekedi disait en avoir marre des «pressions exercées par les mandataires nouvellement nommés pour s’octroyer des avantages illégaux».  A en croire le compte-rendu fait par Patrick Muyaya, ce constat du Chef de l’Etat faisait suite aux différentes missions de la patrouille financière menées par l’Inspection générale des finances IGF au niveau des entreprises et établissements publics. Choqué, Félix Tshisekedi avait, selon Patrick Muyaya, demandé aux autorités de tutelle de veiller au respect des principes de bonne gestion dans le chef de tous les mandataires au sein des entreprises et établissements publics. «Un rappel à l’ordre devrait être adressé à tous les mandataires publics par chacun des ministères de tutelle, a insisté le Président de la République», a rapporté Patrick Muyaya. Le Président Tshisekedi a entrepris de tout verrouiller. Il a demandé au Premier ministre «de faire diligence pour procéder à la signature de nouveaux Décrets», modifiant et complétant des Décrets n°13/056 et 13/055 tous du 13 décembre 2013, fixant les avantages des mandataires publics dans les entreprises et les établissements publics. Représentant plus de 90% des entreprises, environ 50% du PIB mondial et 70% de création d’emplois, les Micros, Petites et Moyennes Entreprises (MPME) contribuent considérablement à la croissance économique. Selon les statistiques, la République Démocratique du Congo enregistre un faible taux de création d’entreprises (moins de 7000 en 4 ans et 20% seulement de contribution au PIB) et très peu de ces entreprises sont viables. Cela notamment à cause des difficultés, voire l’impossibilité, d’accéder au financement. Les banques sont frileuses vis-à-vis des Moyennes et Petites et Mirco Entreprises et leurs conditions sont décourageantes. Pour faire face à cette situation, le gouvernement de la République sous la vision de Félix Tshisekedi  et au travers du Programme National de Développement de l’Entrepreneuriat Congolais (PRONADEC), a créé par le décret n°20/032 du 31 octobre 2020, le Fonds de Garantie de l’Entrepreneuriat au Congo, FOGEC en sigle. Le FOGEC est un établissement public à caractère technique, financier et social, doté d’une personnalité juridique et d’une autonomie administrative et financière avec comme mission de garantir l’accès aux financements des startups, MPME et artisans congolais. Actualite.cd / Clément MUAMBA

voir plus
no image

Grève des pétroliers dans le Haut-Katanga : le gouvernement s'engage à payer les manques à gagner et les arriérés d'ici au 15 octobre

02/10/2023

Lundi 2 octobre 2023 - 08:58 Face à la grève des pétroliers dans la région du Katanga, en particulier dans le Haut-Katanga, le gouvernement congolais a pris la décision de régler les manques à gagner et les arriérés de la profession pétrolière d'ici au 15 octobre de cette année. Vital Kamerhe, Vice-Premier Ministre et Ministre de l'Économie Nationale, accompagné de son collègue des Hydrocarbures, a tenu à rassurer les acteurs de ce secteur quant à la détermination du gouvernement à résoudre définitivement cette question. "Nous avons reçu des instructions du Président de la République et du Premier Ministre pour répondre aux revendications de la profession pétrolière, en collaboration avec mon collègue des Hydrocarbures. Nous avons examiné trois points essentiels. Quelles mesures le gouvernement prendra-t-il pour soutenir la profession pétrolière?? Ici, au Katanga, ainsi qu'à Kinshasa et dans l'est du pays, nous avons confirmé que nous allons compenser le manque à gagner une fois de plus", a déclaré M. Kamerhe, lors d'une réunion avec les pétroliers du Haut-Katanga, qui s'est tenue le samedi 30 septembre dans la salle des banquets du gouvernorat. Vital Kamerhe a également souligné que le gouvernement de la République prendra des mesures supplémentaires pour garantir que les stocks des entreprises pétrolières ne s'épuisent pas, évitant ainsi une crise incontrôlable. "Le gouvernement a annoncé que d'ici au 15 octobre, nous disposerons des fonds nécessaires, provenant des institutions bancaires, pour verser des compensations substantielles aux sociétés pétrolières. De plus, le gouvernement de la République a décidé de certifier les créances des entreprises pétrolières, y compris les arriérés", a-t-il ajouté. La ville de Lubumbashi, chef-lieu de la province du Haut-Katanga, fait face à une pénurie de carburant en raison de la grève déclenchée il y a quelques jours par les acteurs du secteur pétrolier. Ces derniers réclament notamment une révision de la structure des prix à la lumière de la récente augmentation de 30 % des prix sur le marché international. En attendant, ils ont assuré qu'ils reprendraient la vente de carburant sur le marché local. Actualité.cd / José MUKENDI

voir plus

no ad

Agenda

Pas de programme

no ad